PAUL EMILE QUIGNAUX

dimanche 26 avril 2009

Amarrée



Grelots pour un crâne qui se scelle, déridant des steppes d’angoisses rampantes. Sourdes montées de torsions et remords. Acides aux tripes. Le suint d’une tonte répétée. Inlassable. Intérieure. Une grande fresque où burinent nos chants. D’anciens jardins, ronces folles herbes, décombres. Quelques frises calmes qui parcourent la fêlure imperceptible, claquent la porte. Un pas s’avance sans retour. Elle, encore ouverte sur des espaces inutiles quête le repos des compromis infernaux. Je ne céderais pas si violente, si absolue, est ton étale.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire