PAUL EMILE QUIGNAUX

dimanche 26 avril 2009

Le bug de l'an 1000


En dehors de la ville plate, une forêt, et à deux lieux de là, au porche aux biques qui penche, commence le taire y toise du Saigneur, en coudées larges des semences qui le joignent, supposées refuges et maintes réserves aux dires. Là, des bâtiments taupes laissées aux nonnes toutes vouées aux desseins dures et craints du Tout-puissant. Les Nobles laids s'obligent à y prodigualer la faconsité insatiable aux veilles mères vierges et dans ce tant, plus d’un mâle fut mis du gras à cran des jeux guerriers et des poses de la vie. Les mésiconarétables adolescents bien pansus pensant, aux mains fines et bien d’argent, y pavoisent et l’empavanent les soirs au pied herbassé des murs du couvent où nonalites et litanonnes du branle saigneur contournent hymens et rigoles par maux dits courts, criolets soupirs, et écarquillent les pauvres pierres pour s’envalver les yeux. Les bleusaïdes permiches y relèvent cotillons et festoyables derrière les bosquets des dormoirs. Belles et niables heures passées dans ces prières et cloîtres sombres ! Les impudentes charmilles dressées comme êtres bustives aux vents, nuées et râles doux…Mais rien est tel ! Dans les sussures telle ment et allicante ses pavoises. Seules atteintes les regards-bave des bleumoïdes aux poils irisant. Sevrain pinotte que leurs prunelles les dénunatent. Telle autre envie chaude et pérumente les fous plaies sirs, jeunes et neuves du bite en scène dans le couïsse de leur lit. Seule y taire chacune leur souffle pour que n’égoutte la Supérieure aux pervisions miraculeuses. Calottes et suées, pleurs de peau encudnacée depuis tant et temps dans les basses nuits des viles couvents des noirs saigneurs de ce chair occident.

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