Ya d’la pierre, de l’horloge et de la mort puis un cercle de pierres, l’espace de forces mortes. Un temps las. Hors de là s’échappe du pollen de pivoine sang. Passe la stridence d’un grillon. Des bruits d’ailes. Un battement. Donc un cercle de temps lent, un espace de pierres lasses. Au travers suinte de la lumière. Des crispations, le tenu d’un plané irisé de zébrures. Reste le cercle d’espaces lents, là, dans les franges de vapeur. Au dessus darde un doigt pointé vers une buse tournant sous un nuage d'orage. Puis l’abus, l’image de la chute d’un quelconque, du ciel à la tombe.
dimanche 26 avril 2009
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