Mise au bas du mur, une foule craintive aux bras bleuis. Pas de bleus comme les Gaza fillettes mais par les sangles, par la hochante des hommes couverts écartés des femmes. Pour eux, un espace deux fois plus grand, ils ont deux fois plus à gémir, à vomir leurs états et la peur, le compromis avec l’Halacha, tous engloutis dans l’exhorte, ocquet sans fin sur le fil, entre le tohou et l’autre face le bohou, de
lundi 13 avril 2009
Les mantes à Sion
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