PAUL EMILE QUIGNAUX

samedi 20 mars 2010

Pamanteries...


Les mères vieilles mentent et leur fiel m'hante. Les mères veillent leurs merveilles que les pères cher payent. L'amant s'éveille au sans-pareil et va les sentes humant la menthe qu'amère la mère sent. Dans le repaire des pères qui n'osent l'impair se terre encore la mère qui se plante amer en mer jusqu'à l'infini de leur vie. Parmi les repères des mères se pointe aussi l'impaire, la différence séparant le même, l'inconcevable amante qui s'alimente du désir d'un nouveau temps tailleur tentateur. Il y a aussi l'amer mâle de la pleine mère, reflet du pair femme, de l'en-terre dit père. En fait peu d'océan nique la mer et les pamans mentent. Au nom du Père, les non-dupes errent, disait Lacan et pour les fils saint d'esprit, c'est encore pire…

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